Diana Akbulut, lauréate 2020 du prix de la relève de la Fondation vaudoise pour la Culture, est une danseuse, chorégraphe et pédagogue suisse d’origine kurde qui entre en danse avec le hip-hop freestyle et une pratique dans les battles avant de se tourner vers la scène et la pédagogie. Après un séjour new-yorkais qui nourrit son vocabulaire gestuel de diverses influences, elle intègre en 2012 le collectif féminin français Swaggers initié par la chorégraphe Marion Motin et se produit à l’international. En 2015, elle pense et lance le Sassy, un cours de danse éclectique et espace d’exploration féminin pour lequel une communauté s’est fédérée et dont elle parle sur la scène du TedxLausanneWomen 2019. Parallèlement, elle intervient régulièrement dans différents contextes pédagogiques, notamment à la Manufacture - Haute école des arts de la scène et collabore avec l’association BOAT pour la mise en place de projets de transmission. Son travail évolue entre la scène underground, commerciale et les institutions artistiques. Elle collabore en tant que performeuse ou chorégraphe avec des marques et artiste tels que Stromae, Angèle, Paco Rabbane et Nike. En 2020, elle crée Amour Grenade, son premier seul-en-scène et plus récemment, des formats performances avec Trigger, Friction, Ride 88 et Maglite. Des créations présentées à et ou soutenues par l’Arsenic, ADC, Abri, Plateforme 10, Swisssneaks, Mudac, CHUV, Musée de Pully.

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